Une petite histoire d’hébergement avec du DNS dedans

Me voilà pris de quelques lubies un peu bizarre, alors que l’heure est déjà bien avancée : j’aimerais doucement auto-héberger (non, pas dans ma voiture, je n’en ai pas) quelques services, sur ma machine qui a bien plus de puissance qu’un VPS standard, mais visant à terme une machine du genre (et non de guerre) de la CuBox, étant quelque peu attentif à l’empreinte énergétique de mes bébêtes à transistors.

Or voilà, je ne me sens pas prêt à migrer d’un coup tout ce que j’ai pu installer sur mon hébergement mutualisé. À vrai dire, je désirerais commencer par seulement mon instance StatusNet : ayant essayé localement, je peux accéder à une configuration beaucoup plus fine et ce sans avoir à supplier des administrateurs qui ne peuvent pas toujours m’obtenir ce que je leur demande. Les affres d’être trop libre sur sa propre machine et de ne pas supporter les limitations logicielles me tourmentent.

Plan de bataille

  • Configurer LAMP sur une bécane qui va bien (fait) ;
  • Massacrer une instance StatusNet et voir que finalement chez soi, ça plante moins, voire pas (fait) ;
  • Créer un sous-domaine de test (fait, mais pas encore utilisé) ;
  • Sommer mon FAI d’ouvrir entre autres le port 80 (fait) Oui, parce que ces gusses ont jugé bon de le bloquer. Fait via ceci.
  • Rediriger les ports qui vont bien à travers une BBox castrée et à la configuration loufoque. Ce point là il va me faire rire je le sens bien. Ce fut bien drôle en effet, mais : fait ! (Google est votre ami autant que le mien)

Encore à faire

  • S’amuser avec les DNS pour router une partie de mon trafic sur cette machine sans pour autant toucher à la configuration des autres sous-domaines qui doivent (j’y tiens, c’est surtout pour le test) rester accessibles chez mon hébergeur ;
  • Ajouter la contrainte d’avoir une saloperie d’IP dynamique, même si c’est super pratique pour télécharger plein de films de vacances sur Megaupload.
Je crois que je devrai me diriger vers une solution du genre de :
  • DynDNS.com – http://www.dyndns.com
  • Hammernode – http://www.hn.org
  • Zoneedit  – http://www.zoneedit.com
  • EasyDNS – http://www.easydns.com
  • NameCheap – http://www.namecheap.com
  • ConCont – http://www.dydns.za.net
  • DnsPark – http://www.dnspark.com
  • DslReports – http://www.dslreports.com
  • Sitelutions – http://www.sitelutions.com
  • Loopia – http://www.loopia.se
  • No-IP – http://www.no-ip.com/
  • FreeDNS – http://freedns.afraid.org/
La question est : avez-vous déjà essayé l’une de ses solutions ? Pour beaucoup, il est question d’une gestion complète du DNS qui se mettrait automatiquement à jour à chaque fois que mon IP fait des caprices (toutes les 36 heures). Or, je ne vois pas comment dans ce cas mes sous-domaines pourraient rester accessibles.

Et me voilà à héler un peu à la ronde si quelqu’un pourrait m’aider. Merci d’avance.

Mise à jour

Monsieur Glapa m’a conseillé bien gentiment d’éditer le Nameserveur d’un sous-domaine seulement, si mon registrar le permet. Je regarderai ça d’ici quelques jours, soit l’année prochaine. D’ici là, je vous souhaite une bonne et heureuse année.